27/05/2014

LES GRANDS SUCCÈS DU CINÉMA INTROUVABLE (Dylan Pelot - 2014)

DU BIS FAÇON DIDICHE

Une œuvre encyclopédique et totalement foutraque par un amoureux du 7ème Art que n'auraient pas renié Plonk & Replonk.



Un cinéma littéralement introuvable, à part dans l'esprit malade d'un maléfique feu follet dopé à la Rico et aux roulées. Un cinéma que l'on ne trouvera plus depuis que l'inénarrable Dylan Pelot a égoïstement décidé d'aller voir si l'herbe était plus verte au-delà de la ligne bleue des Vosges, histoire d'aller faire le foufou avec Coco et Zinzin, ses potes de toujours, plus braques qu'un Picasso, représentations hémisphériques d'un esprit nihiliste.

24/05/2014

CANNES 2014 - DERNIÈRE PARTIE

RÉSISTANCES

Suite et fin de notre compte-rendu du Festival de Cannes, 67eme édition. Au programme : Lost River de Ryan Gosling, Jimmy's hall de Ken Loach, Sils Maria d'Olivier Assayas et Mommy de Xavier Dolan. Dans quelques heures, ce sera enfin le dénouement. En attendant remercions Charlotte pour son dévouement (même si elle aurait pu faire un effort pour mater le dernier JLG tout de même !)

      On aurait pu vous parler du langage 3D de M’sieur Jean-Luc ou de la recherche d’Hazanavicius Michelus et de sa wife, mais bizarrement on a zappé la journée du mercredi.
        On aurait pu aussi vous parler des "courts-métrages de la fumette" où l’on a vu successivement des hommes singes chelous, des plans fixes sur des messieurs et madames qui attendent en regardant l’objectif, sans rien faire (c’est beau).
       On aurait pu vous parler aussi du remake coréen d’A bout portant vu à minuit au Palais.
       Mais tout subjectivement, je vais plutôt m’attarder sur d’autres films, tous en compétition (SO ou autre), se partageant un mot : Résistance.

21/05/2014

CANNES 2014 - DEUXIÈME PARTIE

DEUX JOURS, UN CANNES

Et c'est la suite tant attendue du Petit Festival de Charlotte. Aujourd'hui, elle s'attaque à deux gros morceaux : Maps to the Stars de David Cronenberg, qui espère enfin grappiller son résidu de Palme, et Deux Jours, Une Nuit de Luc et Jean-Pierre, deux briscards qu'on ne présente plus et qui viennent l'air de rien comme quasiment chaque année obtenir leur petite distinction un sourire malinois au coin. Sacré eux !



UN MEME, UN JOUR


19/05/2014

CANNES 2014 - PREMIÈRE PARTIE

DU WESTERN SANS SPAGHETTI

Trêve de plaisanteries pas bien finaudes (et nos plus plates excuses à la famille Grimaldi), passons aux choses sérieuses. Notre contributrice Charlotte est en ce moment présente au Festival de Cannes pour partager avec nous toutes ses impressions au jour le jour. Prenons donc l'air de la Croisette™ concernant la Sélection Officielle à travers deux films présentés Hors-Compétition (The Salvation, western britannico-dano-sud-africain apparemment bif bof, et The Rover, une dystopie americano-australienne plus contemplative que Mad Max), sans oublier The Homesman, le film de Tommy Lee Jones en lice pour la Palme d'Or qui n'est visiblement pas piqué des hannetons. 



Étrange coïncidence pour notre premier triplé cannois. Y est proposé le genre "Western", tantôt assumé pour The Salvation de Kristian Levring et The Homesman de Tommy Lee Jones, tantôt qui en emprunte les codes et flirte avec pour The Rover de David Michôd.
Comment donc peut s'envisager le néo western 2014, et comment le voit-on sur l’immense écran du Palais du Festival ? That’s the question of the day.